MOI QUI DESSINE DES LABYRINTHES
On me demande souvent d’expliquer pourquoi. J’aime l’état méditatif dans lequel il me transporte. J’aime ses courbes. Il ressemble au chemin de mes pensées. Je dessine mon cerveau sur le sable. Le dédale de mes tripes quand elles bouillonnent de colère. Si sur votre chemin, vous croisez cet autre chemin, entrez-y sans attente. Profitez du voyage. Il n’y a pas besoin d’en parler.